salon du livre de Carhaix, suite et fin
Ce week-end passé à Carhaix a été riche en apprentissages...
... Rencontres avec d'autres auteurs, tels Philippe Lengangue qui a écrit un premier roman "Larmes de crocodile à l'ombre du baobab" aux éditions Cormoran, dirigée par Marie Claude Moreau, un récit décortiquant les forces et les faiblesses de la société congolaise actuelle avec beaucoup de tendresse et de réalisme. Christian Blanchard , qui a écrit un décapant petit livre sur la foire Saint Michel de Brest "Que les gens sont laids !" aux éditions du Barbu, ainsi que Yolande et Paulette, deux dessinatrices pour livres d'enfants aux couleurs bien trempées, dont les albums sont édités par Delioù, à Landerneau.
... Melting pot à l'heure du repas avec auteurs, éditeurs, invités, bénévoles dans les locaux de l'école Diwan.
....et découverte qu'il ne suffit pas de s'asseoir à son stand pour subitement interesser des quidams qui n'ont pas l'intention et la possibilité de s'extasier sur chaque livre présenté. La relation doit se créer entre celui qui passe et celui qui présente, oui, mais comment ? Comment susciter l'envie de partager le livre que l'on défend lorsque plusieurs centaines d'autres s'alignent à ses côtés ? La connection se fait parfois par hasard, mais il faut souvent la provoquer. Tout est alors question de dosage et d'évaluation dans l'interaction que l'on créé. Pas évident !
... Rencontres avec d'autres auteurs, tels Philippe Lengangue qui a écrit un premier roman "Larmes de crocodile à l'ombre du baobab" aux éditions Cormoran, dirigée par Marie Claude Moreau, un récit décortiquant les forces et les faiblesses de la société congolaise actuelle avec beaucoup de tendresse et de réalisme. Christian Blanchard , qui a écrit un décapant petit livre sur la foire Saint Michel de Brest "Que les gens sont laids !" aux éditions du Barbu, ainsi que Yolande et Paulette, deux dessinatrices pour livres d'enfants aux couleurs bien trempées, dont les albums sont édités par Delioù, à Landerneau.
... Melting pot à l'heure du repas avec auteurs, éditeurs, invités, bénévoles dans les locaux de l'école Diwan.
....et découverte qu'il ne suffit pas de s'asseoir à son stand pour subitement interesser des quidams qui n'ont pas l'intention et la possibilité de s'extasier sur chaque livre présenté. La relation doit se créer entre celui qui passe et celui qui présente, oui, mais comment ? Comment susciter l'envie de partager le livre que l'on défend lorsque plusieurs centaines d'autres s'alignent à ses côtés ? La connection se fait parfois par hasard, mais il faut souvent la provoquer. Tout est alors question de dosage et d'évaluation dans l'interaction que l'on créé. Pas évident !